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Un rôle critique et politique essentiel : portrait de la FQPPU

Notre syndicat est membre de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d'université (FQPPU). Celle-ci représente 15 syndicats et associations qui rassemblent la majorité de nos collègues au Québec. Étant leur porte-parole commun auprès des gouvernements, des organisations publiques et privées, des centrales syndicales, des associations étudiantes et des organismes internationaux, la FQPPU remplit un rôle critique et politique essentiel. Au cours de la dernière année, en particulier, elle a défendu vigoureusement la liberté académique et l'autonomie universitaire; elle a réclamé un réinvestissement pour assurer l'embauche de nouveaux professeurs; elle a proposé la création d'un Conseil national des universités, l'adoption d'une loi-cadre des universités ainsi qu'une nouvelle formule de financement.

Pour connaître les prises de position, les productions et les activités de la FQPPU, nous vous invitons à consulter le site Web de la Fédération de même que sa page Facebook et son compte Twitter.

Site web : http://www.fqppu.org/
Facebook : https://www.facebook.com/pages/FQPPU/205035959565637
Twitter : http://twitter.com/#!/fqppu

Source : Texte rédigé par la FQPPU.

La FQPPU reçoit favorablement les recommandations centrales du rapport Bissonnette-Porter mais n’endosse pas tout

Montréal, le 11 septembre 2013 – La Fédération québécoise des professeures et
professeurs d'université (FQPPU) avait fait ses devoirs en prévision du chantier sur la loi
encadrant l'université québécoise. Bien qu'elle n'endosse pas toutes les conclusions du
rapport qui en découle, force est de constater que les co-présidents ont également fait
leur travail avec rigueur. Enfin une loi pour définir la mission, la vision, les moyens et les
valeurs en plus de jeter les bases d'une refondation de l'université québécoise.

« 40 ans : de l'accréditation à la mobilisation »

C'est dans une ambiance festive et décontractée que les membres actuels et retraités se sont rassemblés le 1er juin dernier afin de souligner les 40 ans d'accréditation du Syndicat. Sous le thème « 40 ans : de l'accréditation à la mobilisation », l'histoire du Syndicat a été déclinée en quatre décennies : l'accréditation, la désaffiliation, la consolidation et la mobilisation. Une chronologie et quelques photos ont permis de retracer les moments marquants du Syndicat.

Par cette soirée, le Syndicat a voulu rendre hommage aux bâtisseurs d'hier à aujourd'hui et favoriser les échanges entre jeunes et moins jeunes. Des retrouvailles et des rencontres qui ont été riches en émotion et hautes en couleur. Consultez l'album photo.

La Ligne générale spécial 40e anniversaire

À lire dans La Ligne générale spécial 40e anniversaire : J'ai mal à ma solidarité! À l'heure où la tendance managériale s'impose en milieu universitaire et que la surcharge de travail est de plus en plus portée par les professeurs et les professeures, Mélanie Gagnon brosse un portrait de l'action syndicale où la mobilisation s'inscrit à la fois comme un frein et un moteur de la solidarité. Cet article propose une réflexion sur la solidarité comme tremplin d'un pouvoir syndical véritable et pose un regard prospectif sur les défis qui paveront l'univers syndical à l'orée de ce quarantième anniversaire d'accréditation du Syndicat. Ligne générale spécial 40e anniversaire, juin 2013.

Position du SPPUQAR sur l'accessibilité aux études et les frais de scolarité

Le 20 février 2013, les membres de l'assemblée générale ont adopté à l'unanimité une position sur l'accessibilités aux études et les frais de scolarité :

CONSIDÉRANT l'importance de l'accessibilité aux études universitaires pour tous les citoyens et citoyennes du Québec, quels que soient leur lieu de résidence et leur condition socio-économique;

CONSIDÉRANT la complexité des enjeux entourant la question des droits de scolarité, de leur modulation et des frais afférents;

IL EST RÉSOLU que le SPPUQAR :

  • propose le maintien du statu quo à l'égard des droits de scolarité et de leur modulation ainsi qu'à l'égard des frais afférents;
  • exige la tenue d'un débat de fond sur l'université comme service public et sur ses missions;
  • recommande, à l'issue du Sommet sur l'enseignement supérieur, la mise sur pied d'un chantier auquel les professeurs et professeures seraient partie prenante de manière significative afin de traiter de ces enjeux dans la perspective d'assurer la meilleure accessibilité possible aux études universitaires.